Un dossier spécial dans la revue "philosophie magazine" que vous pouvez retrouver en ligne ici.
On peut y lire : "Nos liens aux animaux, d’attachement et de fascination mêlés, sont immémoriaux. Ils n’en ont pas moins changé ces dernières décennies. À mesure que se développe le mode de vie urbain, nous perdons le contact avec la nature. Et pourtant, nous admettons que la frontière entre l’homme et l’animal est très fine, voire inexistante. C’est l’un des paradoxes de l’époque : les élevages industriels les plus effrayants côtoient le surgissement d’une nouvelle culture de l’empathie."
Bonne lecture !
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