Au retour du congrès international sur les relations Homme-Animal, le bilan est assez positif. Le centre des congrès de la ville de Stockholm a offert une infrastructure idéale pour le suivi des conférences. Ces dernières, bien que de qualité inégales, m’ont permis de faire un point large sur tout ce qui se faisait dans cette thématique en ce moment.
Comme promis, je vous ai fait un compte rendu plus précis sur les deux conférences ayant trait aux relations entre enfants autistes et animaux de compagnie :
- O’Haire et al, effects of an animal-assisted intervention for children with autism spectrum disorders and their peers in a classroom setting
- Enders-Slegers et al, the meaning of a guide dog for children with a disorder in the autistic spectrum : a pilot study
De mon côté, ma présentation fut une réussite. Placée dans le grand amphi, avec le Dr Bradshaw (spécialiste des relations homme-chat) comme chairman (cad animateur de session), j’ai pu expliquer mes recherches pendant 15 minutes, suivi par des questions intéressantes. Des échanges sont nés après ma présentation avec de bons retours. Un des aspects récurrents : « enfin, la recherche en France s’intéresse aux relations homme-animaux de compagnie ». Il est vrai que nous n’étions que 4 français à faire une conférence :
- G. Bernardin (weekly urban dog walking sessions),
- C. Sankey (training induces lasting memories of humans in horses),
- D. Vernay (a french charter of best practices of the AAA) et
- moi-même.
Quelques autres ont présenté des travaux sur poster ou étaient simplement là en auditeurs libres. Les plus présents étaient les Suédois (organisateurs), les anglo-saxons et surtout les Japonais.
Ainsi, j’espère sincèrement que les travaux scientifiques sur les relations Homme-Animal vont perdurer en France, que cela soit à Rennes, au laboratoire Ethos (principalement tourné vers les relations Homme-Cheval) ou dans d’autres laboratoires d’éthologie.
En ce focalisant sur les recherches autisme et relation à l'animal, les deux présentations de l'IAHAIO (et les études publiées récemment) sont porteuses d'espoirs et montrent qu'une rigueur scientifique est tout à fait possible. Désormais, il devient urgent que praticiens, médecins, parents et chercheurs travaillent conjointement pour mieux définir cette relation et la comprendre afin d'améliorer les pratiques utilisant les animaux dans le cadre de ce handicap.
Comme promis, je vous ai fait un compte rendu plus précis sur les deux conférences ayant trait aux relations entre enfants autistes et animaux de compagnie :
- O’Haire et al, effects of an animal-assisted intervention for children with autism spectrum disorders and their peers in a classroom setting
- Enders-Slegers et al, the meaning of a guide dog for children with a disorder in the autistic spectrum : a pilot study
De mon côté, ma présentation fut une réussite. Placée dans le grand amphi, avec le Dr Bradshaw (spécialiste des relations homme-chat) comme chairman (cad animateur de session), j’ai pu expliquer mes recherches pendant 15 minutes, suivi par des questions intéressantes. Des échanges sont nés après ma présentation avec de bons retours. Un des aspects récurrents : « enfin, la recherche en France s’intéresse aux relations homme-animaux de compagnie ». Il est vrai que nous n’étions que 4 français à faire une conférence :
- G. Bernardin (weekly urban dog walking sessions),
- C. Sankey (training induces lasting memories of humans in horses),
- D. Vernay (a french charter of best practices of the AAA) et
- moi-même.
Quelques autres ont présenté des travaux sur poster ou étaient simplement là en auditeurs libres. Les plus présents étaient les Suédois (organisateurs), les anglo-saxons et surtout les Japonais.
Ainsi, j’espère sincèrement que les travaux scientifiques sur les relations Homme-Animal vont perdurer en France, que cela soit à Rennes, au laboratoire Ethos (principalement tourné vers les relations Homme-Cheval) ou dans d’autres laboratoires d’éthologie.
En ce focalisant sur les recherches autisme et relation à l'animal, les deux présentations de l'IAHAIO (et les études publiées récemment) sont porteuses d'espoirs et montrent qu'une rigueur scientifique est tout à fait possible. Désormais, il devient urgent que praticiens, médecins, parents et chercheurs travaillent conjointement pour mieux définir cette relation et la comprendre afin d'améliorer les pratiques utilisant les animaux dans le cadre de ce handicap.
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