Quelques études ont cependant montré des relations négatives entre le fait d’être propriétaire d’un animal et la santé. Une des plus récentes est celles de Parslow & Jorm (2003) qui s’intéresse à la santé mentale et physique, et l’utilisation des services médicaux dans un échantillon randomisés de 1844 Australiens d’âge moyen (40-44 ans), propriétaires ou non d’animaux familiers. Après de nombreux contrôles, il semble que les propriétaires utilisent plus de médicaments pour soulager la douleur que les non propriétaires. Cette étude est en contradiction avec la majorité des autres populations étudiées (Anderson et al 1992 ; McHarg et al 1995 ; Baumann et al 2001 ; Pachana et al 2005).
Il existe cependant de réels points négatifs importants mis en lumière par Podberscek (2006) : outre les aspects positifs de la relation à l’animal (voir article précédent), le propriétaire d’un animal doit faire face au développement de problèmes comportementaux de leurs animaux, mais aussi de santé (e.g. zoonoses, développement d’allergies) et surtout la détresse causée quand l’animal devient malade ou meurt.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire